Depuis l’enfance, nous avons grandi avec l’idée que la réussite appartenait à ceux qui imposaient leur volonté, que la douceur était une faiblesse, que pour obtenir, il fallait prouver.
On nous a répété que les gentils finissaient derniers, que la vie était une lutte, et que seuls les plus forts s’en sortaient.
Ces croyances, parfois répétées sans malveillance, ont façonné notre vision du monde.
Elles ont nourri l’idée que pour être aimé, il fallait être utile.
Que pour mériter l’abondance, il fallait d’abord se sacrifier.
On a appris à fonctionner, à faire ce qu’il fallait.
À suivre des modèles, même s’ils ne résonnaient pas avec notre vérité intérieure.
Mais si tout cela n’était qu’une illusion ?
Et si l’abondance ne se trouvait pas dans la conquête, ni dans l’effort acharné, mais dans l’alignement ?
L’alignement entre ce que l’on pense, ce que l’on ressent, ce que l’on dit et ce que l’on fait.